Mon Pierrick, tu me manques tant ! J'ai acheté des fleurs pour toi, elles sont dans le coffre de ma voiture. Tu t'en fou n'est ce pas ? ça te fait rien des fleurs sur un bout de terre au dessus de ton corps, là, déposé en transition. Quand je suis prés de toi, au dessus de ce rectangle de terre, alloué, je sais cette boite de bois dans ce caveau de ciment dedans il y a toi, en morceaux, méconnaissable. Je voudrais te voir encore, encore. Voir ton visage... Te toucher, te sentir... Mon Pierrick d'amour, mon grand, mon chéri, ma puce, ma crevette... Je suis si triste...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire