mercredi, novembre 26, 2008
Vivre encore...
... alors que je voudrai parfois tout arrêter. Je n'en ai pas le droit, après toi, Pierrick il y a trois autres amours d'enfants pour lesquels ils me faut rester debout, même chancelante. Je les aime tant qu'ils annulent mon désespoir. Vive vous 4 ! mes babychoux d'amour.
Je parle trop de toi...
... en cette période d'avant Noël. Je parle de toi, au même titre que de tes frères et soeurs, mais tu n'as que 22 ans pour l'éternité ! pas 27 comme cette dernière fournée d'internes dans notre service de réa. 27 tu aurais eu 27 ans cette année. Pierrick, je cajole ton petit frère Gaël, quel bonheur ! il aime ça et sans le savoir il m'aide à passer ces années sans toi. Comme je suis heureuse de mes enfants ! Comme ils sont l'essence même de ma vie, ma force, mon envie de... vivre encore.
jeudi, novembre 20, 2008
Ma crevette d'amour...
... mon bébé garçon, tu me manques tant, CONSTAT : plus le temps passe plus ton absence s'amplifie... Tu me manques tant, ma tite puce d'enfant ... J'ai mal, mal de ton absence. Moi qui m'inquiétais de te faire grandir, voici que je ne te verrai pas grandir, vieillir. Je n'aurai pas de bébé de toi... suis si malheureuse de ton absence si malheureuse...
mercredi, novembre 19, 2008
Johann, Gaël, Nolwen et toi mon Pierrick. Plus jamais vous ne serez réunis tous les quatre. Je ne saurai jamais comment tu aurais vieilli, comment tu m'aurais été "fidèle" bien que je suis sûre que tu serais prés de moi si ... si ... si tu vivais encore ! Comme ton absence se fait sentir. Partout je te vois, t'imagine, j'ai parfois de la peine à voir toute cette jeunesse qui envahit mon univers. Les gens de ton âge sont les internes de réa qui viennent d'arriver pour 6 mois, je vais travailler avec eux, les entendre, et toi tu n'es pas parmi eux, où es-tu ? Dans quelle contrée t'es-tu perdu ?
mardi, novembre 11, 2008
lundi, novembre 10, 2008
message sur le site Florent
Je ne suis pas prés de ton corps en ce jour de la Toussaint , je travaille et culpabilise de n'avoir pas eu le temps de fleurir encore plus que d'habitude ta tombe mon Pierrick. Je me dis que tu t'en "fou" que cela n'a plus d'importance pour toi. Il n'y a qu'un sentiment qui me motive le respect des morts, des absents. Par ce que il me semble que je peux encore faire quelque chose pour toi. Mais je suis trop cartésienne pour ignorer que tout cela est vain et inutile pour toi. Pour moi cela me sert à vivre mon deuil, à compenser... cependant la dépression bravée, ignorée est là et bien destructrice. Je riposte, "bastonne", râle, cela ne suffit pas... Tu es mon vivant le plus absent et manquant à mon quotidien... quotidien qui me rend plus soucieuse et inquiète pour tes frères et soeur. Pierrick tu es mon fils chéri, chéri, chéri,chéri...
jeudi, novembre 06, 2008
mercredi, novembre 05, 2008
Mon Gaëllou...
lundi, novembre 03, 2008
j'aime tant le temps qui reste...
Serge Régianni -Le temps qui reste
Serge Reggiani mon interprète préféré.
samedi, novembre 01, 2008
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