Johann, Gaël, Nolwen et toi mon Pierrick. Plus jamais vous ne serez réunis tous les quatre. Je ne saurai jamais comment tu aurais vieilli, comment tu m'aurais été "fidèle" bien que je suis sûre que tu serais prés de moi si ... si ... si tu vivais encore ! Comme ton absence se fait sentir. Partout je te vois, t'imagine, j'ai parfois de la peine à voir toute cette jeunesse qui envahit mon univers. Les gens de ton âge sont les internes de réa qui viennent d'arriver pour 6 mois, je vais travailler avec eux, les entendre, et toi tu n'es pas parmi eux, où es-tu ? Dans quelle contrée t'es-tu perdu ?
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